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    Elle est belle comme un coeur, mais lui il est vraiment.....hips
     
    *************
     
    Et le superbonus du soir, une histoire bien crado que je dédis à toutes mes copines, désolé....hips!
     
    - C'est deux filles bourrées qui sortent du bal et elles sont à pince et elles ont mal au pied tout d'un coup il y en a une qui se dirige vers un champ et qui escalade la clôture et sa copine lui dit:
    "Mais Agathe qu'est ce que tu fais?"
    "Laisse, laisse" Elle escalade les barbelés, se met sous la vache et se met à téter les pies de la vache
    "Mais Agathe qu'est-ce qui te prend?"
    "Attends laisse moi faire il y en a bien un des quatre qui va nous ramener!!!"

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  •   s

    Bon revenons aux fondamentaux, la qualité ça va 2 minutes, la quantité c'est tout ce qui compte..HIPS!

    Et une histoire sympa en prime, bonus...

     - Dans un bar, un mec complètement bourré demande au barman les toilettes qui les lui indique par des "au fond, à gauche puis à droite". Le gars s'y rend, ouvre la porte et là, stupéfaction, il voit des chiottes en OR ! Le plaisir est à son comble et le gars décide d'y mettre le paquet...
    Le lendemain, l'ivrogne rencontre un de ses potes et lui raconte qu'il a chié dans des chiottes en or en lui précisant où se trouve le café. Le copain n'y croit pas trop mais décide de se rendre dans ce bar pour vérifier. Arrive devant le barman il demande:
    - Où sont vos chiottes en or ?
    Le barman tournant son regard de l'autre côté du bar:
    - Eh Raymond, j'ai trouvé celui qui a chié dans ton sax.


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  • Je passe quasiment tous les jours devant la caviste citée en référence dans l'article de Libé.

    Mais trop occupé à m'arsouiller au mauvais rosé en cubi., je n'ai jamais osé franchir le pas de sa porte.

    Mais je vous le dit, ça peut plus durer.

    Je vous livre l'article de libé et le lien vers la caviste de Mauguio Cathy!

    Comment passer de la piquette au vin de qualité....

    Dans le Languedoc, retaper la piquette n'est pas vain
    De jeunes vignerons changent le visage d'anciens domaines médiocres.
    Par Pierre Daum
    QUOTIDIEN : samedi 29 septembre 2007
    Claret (Hérault)  envoyé spécial
         
     
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    Transformer de la vinasse en nectar. En ces temps de crise viticole durable, de nombreux vignerons tentent de relever le défi. «Dans le Languedoc, on voit pas mal de personnes de conviction reprendre des vignes mal exploitées et en tirer du bon vin, souligne Cathy Garcia, une jeune caviste très pointue de Mauguio, près de Montpellier. Certainement parce qu'ici, on trouve encore des terroirs d'une grande spécificité à des prix abordables pour se lancer.» Actuellement, l'hectare de vignes languedociennes se négocie autour de 10 000 euros, contre 600 000 en Champagne... Pierre Jéquier et Blandine Chauchat, à Claret, dans l'Hérault, font partie de ces néovignerons en train de renouveler complètement l'image - longtemps très négative - des vins du Languedoc.
    Lui était architecte à Genève, elle fonctionnaire parlementaire à Paris. En 1998, il a repris huit hectares de vignes, dont la production partait intégralement dans l'anonymat de la cave coopérative de Claret, au nord de Montpellier. En 2003, elle a rajouté trois hectares de vieux carignan et de vieux grenache. Les premiers millésimes de leur mas foulaquier ont tout de suite reçu des mentions dans les meilleures revues : Guide Hachette (coup de cœur en 2003), Wine Advocate de l'américain Parker (qui parle de «superb values»), Revue des vins de France... Pour devenir ensuite incontournables dans les cartes des restaurants les plus prestigieux de France : Pierre Gagnaire et Hôtel Georges V à Paris, Le Clos des Cimes en Auvergne, pour ne citer que les tri-macaronés... «Mais on me trouve aussi chez toutes les bonnes adresses de bars à vin de l'Est parisien», précise Blandine.
    «Retaper».  Entre deux journées de vendanges, le couple reçoit à l'ombre d'un micocoulier centenaire. Les vignes s'étendent en coteau à l'inclinaison légère. Nous sommes au cœur du Pic Saint-Loup, l'espace viticole le plus réputé parmi les AOC Coteaux du Languedoc. Le paysage, magnifique, est barré à l'ouest par le plateau calcaire du Causse, et au nord par les contreforts des Cévennes. «Pour produire du vin de qualité à partir de vignes habituées au bas de gamme, il y a deux méthodes, lance Blandine. Soit on rase tout, pour un ré-encépage au profit de pieds améliorateurs. Soit on accorde sa confiance aux vignes existantes, et on les retape.» Pierre et Blandine ont suivi la deuxième. «Sur mes huit hectares, j'en ai quatre en syrah et quatre en grenache, décrit Pierre. Le type qui les a plantés il y a dix-huit ans a commencé par faire l'erreur de les récolter dès la première année. Alors qu'il aurait dû simplement tomber les grappes [ndlr, c'est-à-dire les couper avant maturation] pendant au moins quatre ans et ne vendanger qu'à la cinquième feuille, afin que l'énergie de la plante aille dans la production de racines et non dans celle du fruit.» Pourquoi conserver des plantes aussi mal soignées à la naissance ? «Parce qu'elles ont eu la chance d'être plantées sur un terroir d'exception, répond Blandine. Calcaire en surface, et argileux dessous, ce qui le rend très drainant.»
    Pour ses trois hectares acquis en 2004, Blandine s'est même permise de conserver des carignan vieux de cinquante ans, un cépage très productif (jusqu'à 150 hectolitres l'hectare) utilisé depuis un siècle afin de faire pisser au maximum les vignes du Languedoc. Aujourd'hui, tout le monde s'empresse de l'arracher. «En vieillissant, précise Blandine, le carignan commence à perdre de sa vigueur et il peut devenir qualitatif, surtout s'il est planté en coteau.» Dans l'opération de «retapage», la première règle est d'approfondir les racines. Car plus les racines sont profondes, plus elles captent les multiples saveurs de leur terroir. «Nous avons commencé par simplement labourer la terre, raconte Blandine. Cela permet de couper les petites racines en surface, et d'obliger le pied à aller chercher sa nourriture en profondeur. En plus, quand il pleut, au lieu de ruisseler sur un sol dur, l'eau peut, elle aussi, descendre.» Deuxième règle : baisser les rendements. «Parmi les papiers des anciens propriétaires, j'ai retrouvé des déclarations de récolte monstrueuses ! poursuit la jeune femme. C'est sûr que plus ils apportaient d'hectolitres à la cave [coopérative], plus ils recevaient d'argent. Nous, en abaissant nos rendements à 30 ou 40 hectolitres par hectares, contre au moins 60 avant, nous obtenons un vin plus concentré, plus riche et plus complexe.»
    «Eau de javel».  Troisième et dernière règle : le passage au bio total. «Tout le contraire de ce qui se faisait avant, avec un recours systématique aux désherbants et aux engrais chimiques.» La récolte se fait à la main, car la machine, en secouant le pied, le fragiliserait. Puis, au lieu de bennes de 800 kg, les grappes sont récoltées dans des caissettes de 20 kg, ce qui réduit au maximum leur trituration. «Cela nous permet, à la ­vinification, de ne pas avoir recours au ­soufre, cette eau de javel du vigneron, explique Pierre. Les levures naturelles sont préservées, ce qui permet au vin d'exprimer en toute liberté le terroir dont il est issu». Et de bien se vendre. 
     
     

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    Faire sa propre bière chez soi,

    c'est possible ...Eh oui !!

    Non seulement c'est possible mais en plus c'est facile. Qui n'a jamais rêvé de fabriquer sa propre bière et de partager le plaisir de la déguster avec ses meilleurs amis.

    Le site LebonPlan.fr va enfin vous faire réaliser ce vieux rêve.

    Il vous suffira d'une heure pour préparer votre premier brassin puis d'une dizaine de jours de patience le temps de la fermentation avant de mettre en bouteille le précieux breuvage.

    Le plaisir de savourer votre première bière n'aura d'égal que la joie et la fierté de la déguster entre amis.

                         Ce site vous donne une illustration très bien faîte de la marche à suivre: ici les 10 étapes.D'après le site vous pourrez fabriquez plusieurs type de de bières et un grand choix d'accessoires est proposé.

     

    Bon, vous découvrirez tout sur le site et donnez nous votre avis si vous avez tenté l'expérience.

     

    Le site est ici.

     

     


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  • Lors d'une émission TV Serge Gainsbourg (hips) va insulter Catherine Ringer (chanteuse des Rita Mitsouko) parce que dans le passé elle a tourné quelques films pornos !

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